Villa Libellule

Séfira attendit que le garçon soit partit pour se lever et regarder où il allait, mais il n'était plus là...
Elle chercha un peu dans sa chambre pour trouver une quelconque robe si il y avait une...

Durant ses recherches, Séphira ouvre sa penderie et y trouva une multitude de vètements sous une miriade de couleur. Tous dans un genre provoquant, sexy et d'une élégance rare par rapport à ce que l'ont peut trouver en dehors. Les tissus, tous d'une rare beauté, d'un touché léger et agréable provaient la richesse des lieux où se trouvait Séphira.

En inspectant la commode un peu sur le coté, elle y trouva tous les accessoires nécessaires qui concorderaient avec chaque tenue. Ces toilettes ne serait rien sans l'armoir à chaussures tout aussi multiple et diverse que les ensembles présents dans la garde-robe.

Face à la porte se trouve une maquilleuse du même ton que les autres armoires, surlaquelle tronait mille et un falcons de beauté.

Finalement elle trouva une belle robe rose, sûrement faîte de tissus rares, probablement de la soie vu l'extrème douceur du tissu. Rien qui ne pouvait sembler faire penser qu'on pouvait l'attacher quelque part... Elle chercha un peu sur le tissu pour finalement trouver une fermeture éclair. La robe était très courte et d'apparence sexy... Elle fouilla un peu et trouva les chaussures assorties. Dans la commode à côté se trouvait une bonne quantité d'accessoires en tout genre. Dont une magnifique épingle à cheveux de couleur argentée et d'une taille importante qu'elle décida de mettre, après la robe bien sûr. Elle s'habilla rapidement faisant quand même attention à la robe, elle ferma la fermeture avec difficulté, mit les chassures à talons et l'épingle dans ses cheveux...
Habillée, elle sortit dans le couloir et n'y trouvant personne, elle attendit.

*Voix off se fait entendre.*

Bonjour mesdemoiselles... aujourd'hui, le maitre aura besoin de certaines d'entres-vous pour une exposition.
Je demanderais donc à celles que je vais citer le nom de sortir de leur chambre et d'aller rejoindre le majordome dans le couloir.
Vous aurez le privilège de sortir de la villa, profitez en bien.

Sont invité :

- katia
- lidy
- sana
- gine
- sung
- miry
- reza
- figy

Les autres ont quartier libre.

Des bruits de pas et de paroles sortirent du couloir.

Séfira n'entendit pas son nom. Elle avait apparement quartier libre.
Elle se dirigea vers un bout du couloir en se demandant comment étaient les autres pièces de la villa. Surtout le salon du moins s'il y en avait un...

Séphira déhambula le long des couloirs, allant au gré du labyrinthe de pièces qui s'offrait à elle. La maison très richement décorée d'objets étincellant de mille feux, refletant la lumière artificielle des lieux., créant un étrange miroitement.

Au cours de ses érrances, Séphira arriva dans une long couloir, un très long couloir, mais étrangement rien ne l'éclairait, seul la lumière du jour faisant danser les ombres du mobiliers, un mobilier qui lui était totalement inconnu de par son style et de ses formes. D'immenses fenètres aux croissillons, filtrait une douce lumière, laissant la chaleur du jour répendre ses ondes de chaleur.

Séfira s'était tout simplement perdue...
Elle arriva dans un long couloir sombre... Elle marcha dans cet étrange lieu plein d'ojets qui lui étaient inconnu.
Seule une lumière douce pleine de chaleur éclairait et endroit.
Malheureusement elle rentra dans un meuble et elle tomba par terre déchirant un peu sa robe...
Elle se releva avec peine et vit au bout du couloir une silhouette sombre...

Un rire haut perché et ironique résonna dans le couloir où Séfira s'était heurté.
Vint à ses yeux une jeune fille, à la longue chevelure noire orné d'un diadème où un lys dessiné par des perles blanches, la regarda avec mépris.
Habillée avec une robe en dentelle d'un style datant d'un siècle révolu, elle paraissait si maigre et si fragile entouré de sa jupe bouffonnante.

*continua à marcher et passa à côté de Séfira*

Si tu veux te faire remarquer par le maitre, il y a d'autres moyen...

Et elle repri son rire à gorge déployée en continuant à marcher d'un pas désinvolte.

Au même moment apparait un homme, on ne sait d'ou il vient. Marchant à pas feutré, il s'approche, un étrange appareil à la main. Il s'arreta devant les débris, puis pris l'appareil à deux mains et actinna un bouton.

Un léger ronronement se fit entendre et l'homme posa l'appareil sur les morceaux. Quand il retira celui-ci, tous avait disparu. Il se retourna et repartis dans la direction d'ou il venait.