*HOT* et après

Sortant par la porte indiqué par l'ouvrier, je me retrouva dans la rue perpendiculaire de l'entrée principale de l'immeuble.

Il me reste encore à acheter une gaine pour la dague

*attend Nazzred*

* Moins d'un seconde après je rejoins Aldéa dans la rue. *

*Je regarde autour de moi, essayant de savoir ou nous sommes. *

* Je tourne vers Aldéa.*

Tu as encore besoin de quelque chose ou tu veux rentrer ?

nazzred a écrit:

Tu as encore besoin de quelque chose ou tu veux rentrer ?

heu... je dois passer à l'armurie... t'as besoin de rien toi?

*me rapproche de lui*

allons bon... et maintenant?

* Je vois Aldéa se rapprocher de moi. Je la regarde, un sourir aux lèvres.*

Non, je n'ai besoin de rien, du moins je crois.

* Je m'approche un peu d'elle aussi.*

Doucement je m'approche de lui, son sourire qui apparait me semble si étrange, le voilà qui s'approche aussi toujours en me souriant.
Quand je me retrouve face à lui, très proche..

Tu n'as rien à me dire?

* Nos visages se rapproche, je sens son souffle qui carressent mes lèvres. Je plonge dans ses yeux. Le temps se figent à nouveaux autour de nous. *

* Je suis attiré vers elle, je ne m'en rends pas compte. Sa dernière phrase résonne dans ma tète, mais je ne sais pas ce qu'elle a dit. Plus rien ne compte, sauf elle.*

* Lentement, mes lèvers se posent contre les siennes, sentant la douceur de son baiser, je me laisse envahir par cette sensation de chaleur.*

Pardonne moi si je me trompe.

Alors que j'attendais qu'il se confond en explications l'une plus tordue que l'autre ou qu'il me tire pour rentrer, je le vis s'approcher de moi, de mon visage.

Je sentis son souffle chaud sur ma joue, se rapprocher de mes lèvres, ce fut des fractions de secondes qui passèrent d'une lenteur intenable et d'une vitesse étonnante.
Le temps se figea, le monde tourna autour de nous comme si j'étais au coeur d'un carousel, son odeur me remplissait l'esprit et je ne voyais plus rien d'autre que lui.

Un contact, miniscule du bout de ses lèvres sur les miennes, une sensation électrique m'envahi et avant même que je comprenne ce qui m'arrivait j'avais la douceur de ses lèvres contre les miennes.

Mon sang passa à une vitesse folle à travers mon corps, mon coeur qui battait la chamade à tour rompre, j'avais l'impression que ma tête allait exploser mais cette sensation était de loin différente à ce que j'avais ressenti avant.
Agréable, surprenante, douce, délectable ... tous ces adjectifs auraient pu convenir si seulement je serais arrivé à continuer à réfléchir.

Sans m'en rendre compte, mes mains bougea sans que je puisse les contrôler, l'une cherchant le contact de la main de Nazzred et l'autre se posa lentement sur sa joue.
Avide de recevoir encore plus de sa chaleur au risque de perdre le contrôle totalement de mon corps.
Les yeux fermés, je ressentais le besoin de recevoir et d'offrir ce plaisir qui envahissait mon être.
Mon corps se rapprocha encore plus du sien, au point de le toucher, au point d'avoir la possibilité de me fondre en lui.

Une étrange sensation se mit à parcourir mon corps, entre une immense chaleur et un long frisson de plaisir, remontant dans mon dos, et faisant trembler mon coprs d'extase.

La chaleur de sa main se posant sur ma joue, la douceur de celle-ci, me réconforta, je ne faisais pas quelque chose de mal.

Lentement, je sentis le coprs d'Aldéa se rapprocher du mien. Passant ma main le long de sa joue, puis dans son cou pour l'attirer encore plus contre moi.

Du simple contact de ses lèvres, j'en voulais encore plus, je sentais sa respiration s'accélérer tous comme la mienne, j'en voulais toujours plus. Le parfum de sa peau me parvenait, m'enivrant, me troublant, c'est très agréable.

Passant mon bras autour de sa taille, je la tire vers moi, je la colle à moi, toujours plus fort, toujours plus près. La douceur de sa peau, le gout de ses lèvres, je veux tous ca pour moi.

Encore hésitant, je laisse passer le bout de ma langue entre mes lèvres, explorant les lèvres d'Aldéa, espérant entrer en contact avec la sienne. Je ne peux plus m'arrèter, mon corps en veut toujours plus. Ces sensations qui me troublent, qui m'ennivre. Je ne veux plus la lacher, je ne suis plus que désir et envie pour Aldéa.

On dirait un rêve, la réalité se fondi dans ma tête pour ne plus faire qu'un amas disparaissant de ma raison.

Ce simple contact de ses lèvres fit monter un désir en acsenssion; mon envie, ma surprise, moi qui voulait profiter qu'il n'était pas celui que je connaissais pour le toucher.
Cette peau que j'ai tant regardé tous les matins, sans espérance de pouvoir connaitre la sensation de son contact, je l'avais sous la main, je l'avais contre moi.

Encore, encore, il me tira vers lui encore plus, que j'aimais cette force, cet élan, cette avidité de me vouloir, de faire sentir son désir.
De sa douceur de sa bouche, il l'entrouvi et je sentis une chaleur, humide et extrèmement douce frôler mes lèvres.
Cherchant doucement un contact équivalent, se promenant le long de l'intermisce de mes lèvres, je ne pu faire autrement que céder à l'invitation qu'il m'envoyait.
Lentement, j'entrouvis pour répondre à sa langue et un frisson parcoura mon corps comme un arc électrique qui me grille le reste de la raison.
A l'instant où j'ai senti le contact de sa langue contre la mienne, mon avidité de le gouter fut encore plus grande et pour contrôler tant bien que mal cette attraction, je pris une grande respiration.
Cet air frais dans mes poumons, prouvant une énorme satisfaction ne m'aida tout de même pas à arrêter cette pulsion qui envahissait mon être.
Cette gourmandise de vouloir gouter encore plus de son être.

Je serra encore plus mon étreinte, timidement, voulant lui montrer mon désir, je sorti ma langue et caressa la sienne dans sa bouche.
La chaleur de notre baiser m'envahi comme un feu que je ne voulais absolument pas arrêter.

Au moment ou je sentis le contact de sa langue contre la mienne, une vague de plaisir fit trembler mon corps, des étoiles dansait devant mes yeux, m'emmenant dans un autre monde.

Laissant doucement courir mes mais contre son dos, sentant la douceur de sa peau, son parfum troublant mes sens. Plus je goutais ses lèvres plus j'en voulais, le serrant fort contre moi, je veux sentir son coprs contre le mien. Ne faire plus qu'un avec elle.

Puis lentement, je reculais la tète, nos langues ne se touche plus, ne lèvres se décollent doucement. J'ouvre les yeux, la respiration halletantte, complètement troublé par ce baiser, encore sur un nuage, la tète dans les étoiles. Je la regardes longuement, je regardes son visage, je ne sais plus ou je suis, ni qui je suis tellement mon esprit est brouillé par la vague de plaisir si intense que je viens de vivre.

Je ne dis rie, en silence, je plonge mon regards dans le sien, je cherche ce que son coeur dit à travers ses yeux.

Encore sous l'effet de l'étreinte, j'ai encore le goût de son baiser salé sur mes lèvres et le poid de sa langue contre la mienne.

Il est là, face à moi, me dévorant des yeux, mon corps et mon coeur étant à la merci de ses envies.
Depuis tout à l'heure, il doit sûrement entendre les battements de mon coeur qui résonne dans mes tympans telle une batterie assourdissante.

Lentement nos corps se démèlent et mon souffle se stabilise, mes pensées reprennent forment et des questions m'assaillent.
C'est quoi cette sensation qui m'envahi?
Pourquoi m'embrasse t il?

Embrasser... oui c'est ça... je l'ai vu de nombreuses fois, sans en comprendre le bien fondé de cet élan.
Mon premier baiser.

Je n'ai d'yeux que pour lui, le scrutant par tous ces détails qui forment sa personne, je le connais déjà par coeur mais je n'avais jamais eu l'occasion d'être si proche de lui.
Quelque chose au fond de mon coeur s'était libéré.

Mes mains qui l'enlace doivent donc arrêter?
Ce plaisir si intense, doux et chaud prenait fin.

Je n'entends qu'un murmure provenant de je ne sais ou, je suis sourds à ce qui m'entoure, je n'ai d'yeux que pour elle, tout mon être la veux, ne demande qu'elle. Mon esprit est ailleurs, annihilé par le gout de ses lèvres. Mon coeur bat dans ma tète, je suis dans un autre monde.

Je la fixe, je n'arrive pas à détacher mon regards du sien, je veux encore la gouter, je veux encore sentir son coprs contre le mien. Je ne suis plus que désirs. J'ai encore mes bras autour de sa taille. Je ne peux m'en détacher. Je peine à reprendre mon souffle, je sens le sien proche de mon visage.

Je reste là, sans rien dire, je n'ai qu'une envie recommencer à l'embrasser, mais je me retiens, je ne sais plus ce que je dois faire. J'ai l'impression que si je la lache, je la preds, pourtant, je sais qu'elle sera toujours à mes cotés, là près de moi.

Ses mains sur mon corps, qui me retiens, qui me brule à travers mes vêtements, cette envie de le sentir contre ma peau.

Rien que de sentir ce contact me fait vibrer tout le long de mon corps et effleure d'un doux frisson ma chair.
Une chaleur grandissant dans mon ventre ainsi que l'espoir qu'il me garde le plus longtemps possible ainsi.

J'avais l'impression qu'on me l'avait changé mais qu'importe, c'est mon premier baiser et j'espère pas le dernier.

J'hésitais à savoir si je devais m'éloigner de lui, de son contacte, après tout, c'est lui qui avait arrêter notre élan...
Mes mains se promenèrent sur son dos et ses épaules tandis que je regardais minitieusement le chemin que mes doigts parcouraient, ayant trop peur de regarder ses yeux posés sur mon être.

*vois le couple enlacé*
*s'approche avec un sourire narquois*

Alors ainsi tu l'as retrouvée?

*applaudi des mains d'un ton calme et régulier*

Alors à quoi ressemble la demoiselle en question?
*essaye de regarder la jeune fille dans les bras de Nazzred*

Une voix me sort de ce rèves. Une voix que je connais. Un bruit me ramène à la réalité.

Qu'est-ce donc ?

*Lentement, je tourne la tète dans la direction de la voix, revenant doucement à la réalité. Je ne lache pas Aldéa, mais je mets automatiquement sur mes gardes. Je sais que l'on est en pleine rue, tous me reviens en un instant. Je ne garde que le gout sucré des lèvres d'Adléa sur les miennes.*

Lui, que fait-il ici, je croyais l'avoir plus amoché que cela. Moui, un bon médecin à mon avis.

Tiens, tu marches encore toi ?

Nazzred a écrit:

Tiens, tu marches encore toi ?

*S'immobilise et garde ses distances*
*lève les mains vers le ciel montrant sa bonne foi*

Comme tu peux le voir

*Sourire au coin et regard furtif vers Aldéa*

Ah... donc c'est elle....

La rue quasiment vide, espacé pour le passage des camions mais très peu de passage dans les environs.

* Le regards plein de tendresse envers Aldéa se change en haine et en envie de tuer rien qu'en le regardant.*

Mais qu'est-ce qu'il fait ici ? Le hasards probablement.

* Mes sens parle pour moi, mon corps agit par réflexe. Mon pistoler se matérialise dans ma main, celle que le corps d'Adléa lui cache, au moinde geste suspect, je le tue une bonne fois pour toute.*

On peut arranger cela si tu veux ?

* Je tourne ma tète légèrement vers Aldéa.*

Je crois que tu as un compte à régler avec lui ?

Alors que je savourais l'instant, que j'avais oublié le monde qui nous entourait, j'entendis des applaudissements venant de l'extérieur de ma bulle.

Sishio a écrit:

Alors ainsi tu l'as retrouvée?

Doucement je tourni ma tête pour voir quel était l'intru, le parasite qui venait me déranger et qui pourrait faire oublier à Nazzred ce qui venait de se passer.

Je connais cette tête mais d'où?

Un homme habillé d'un costume assez classe, restait les mains ouvertes devant nous, souriant doucement et croisa mon regard.

oui! je vois!

Une tension me monta dans la tête et comme un choc électrique violent et bref, il me rappella par image saccadée dans ma tête, le marché, la rencontre...

Nazzred a écrit:

Je crois que tu as un compte à régler avec lui ?

Je senti l'arme de Nazzred apparaitre contre mon corps et la dague qu'il m'avait offert qui me démangeait contre ma jambe.
Mes mains quitta la chaleur de son corps et je me mis face à mon agresseur.

Effectivement....

*Voyant Aldéa se mettre de face*

On se calme... calme... ce n'est pas si évident que cela de vous trouver dites moi.

*abaisse doucement les bras et met les mains dans les poches*
*sors une cigarette d'une boite et la met en bouche*

La cigarette se mit automatiquement à se consummer dès le contact avec la bouche.

Il semblerait qu'une place s'est libéré et quiconque trouvera le responsable du meurtre de l'ancienne "chasseuse" pourra y prétendre.

*regarde Aldéa dans les yeux*

Le meurtre a été signalé il y a de cela quelques jours

*regarde Nazzred*

Tu cherchais encore la demoiselle, ci-présente, ce serait toi?

*regarde à nouveau Aldéa à travers la fumée de cigarette*
*penchant légèrement la tête vers le bas*

D'un autre côté, elle serait morte près de l'entrepôt où je suis le dernier à l'avoir vu....

*prend une pause, remonte le regard*

enfin... le dernier... je pense que mademoiselle y étais aussi....

La cigarette prenait fin, il la lacha par terre et continua à regarder le couple les mains dans les poches.

* Je vois l'homme faire comme si de rien n'était.*

J'ai l'impression qu'il n'en a pas eu assez.

* Le laissant finir, l'écoutant. Je suis toujours sur mes gardes, l'arme au point, toujours cachée par le dos d'Aldéa. Je suis prèts à lutter.*

Et ? C'est ce que tu es venu chercher ? Je ne crois pas ...

* Je regarde l'homme droit dans les yeux, cherhant les réactions de son corps avant que celui-ci ne puisse faire le moindre geste.*

Nazzred a écrit:

Et ? C'est ce que tu es venu chercher ? Je ne crois pas ...

Chercher? chercher quoi?

*rigole de vive voix, les mains toujours dans les poches*

Mouahahaha.... tu pense que je suis venu chercher la demoiselle?
Pourquoi faire?

*regarde Nazzred calmement*

On ne sait pas qui a tué l'une des chasseuses mais on ne sait pas non-plus que j'étais là un peu avant sa mort.
Si ça s'apprend...
J'étais donc à ta recherche et quand je te trouve, il a fallu que la fille qui pourrait en témoigner soit celle que tu recherchais en définitif... le hasard fait bien les choses.

*souris d'un air narquois*

ça m'arrange énormément...

*regarde Aldéa*

Dis moi... qui t'a sauvé?

*sors un objet de sa poche*
*regarde attentivement le collier mis sous ses yeux*

L'objet en question est un collier, pendantif reconnaissable par sa forme si familière.

C'est un fou qui me l'a "donné" en me disant qu'il avait reçu en cadeau d'une prénoméee Adela ou Aléa...

*regarde à nouveau Aldéa*

Mais si je ne me trompe pas... c'est le collier que tu portais au marché non?

Ris tant que tu en as l'occasion ...

* Regarde l'homme, je reste stoique, je ne bouge pas le laissant seul dans son délire. J'attends.*

* Je scrute les réactions d'Aldéa face au paroles de Shishio.*

Il a besoin de quelque chose, de moi je suppose, laissons le parler on verra bien.

Et ?

Sishio a écrit:

Mais si je ne me trompe pas... c'est le collier que tu portais au marché non?

Effectivement c'est le mien....

*s'avance vers l'homme*

D'ailleurs si tu pouvais me le rendre...

*tend la main ouverte vers lui*

Tu me demandais qui m'a sauvé?
Comme le fou a dû te dire, il m'a ramassé inconsciente par terre... je ne me souviens pas de grand chose d'autre.

Lui a t il fait du mal? J'espère que non... vu que le collier est là, je leur suis à nouveau redevable.

*voyant la jeune fille avancer, remet le collier dans sa poche*

Tsss tsss Tsss..... Tu le veux? Demande le moi gentiment

*sourire pervers aux lèvres*

C'est quoi ton nom? Aléa? Adela?

*m'approche aussi vers elle*

* Voyant l'homme et Aldéa si proche alors qu'un instant aupravant, je la serrais dans mes bras, me paru étrange, mais je laissais faire, que pouvais-je y faire ? *

*Me laissant là, un peu à l'écart, la situation semblait étrange, irréelle.*

*Là seule chose que je pouvais faire était d'être là, au cas ou, près à agir, ne plus la laisser seule, surtout face à lui.*

* Restant toujours un peu en retrait, je me rapproche un peu, surtout pour pouvoir anticipé ces mouvements à lui, imprévisible comme il est.*

Qu'est-ce que tu manigances avec Aldéa?

* La question se figea en moi, tournant sans cesse dans mon esprit.*