Entrepot H-18

Tronant au milieu de la piece, Aldéa gisait sans connaissance sur le sol. Les pieds et les mains entravées par des cordes, solidement attachée.

- Tu l'as appelée?
- Oui elle sera là dans quelque instant.
Elle a hate de voir la marchandise.
- Dommage, une si jolie poupée. Rien pour nous comme d'hab!
- Tu veux un clope, allez râle pas, on sait rien y faire de toute façon.

Le crissement des pneus d'un véhicule se fait entendre.

- Tiens ça doit être elle.
Eteins ta clope, elle déteste ça.

toujours sans connaissance

j'entend vaguement des bribes... des sons, autour de moi....

trop fatiguant....

*retombe dans l'inconscience*

* Jettes vite leurs cigarettes, remettes en place leurs vestes et attendes*

Une porte grince. Des bruits de pas se rapproche.
Dans l'encadrement de la porte apparaissent plusieurs silouhette.
D'abord un homme, grand, musclé, il a tous du garde du coprs, puis une femme, habillée de manière élégante, robe, fendu jusqu'au hanche, dévoilant de sublime jambes ou scintillait d'un éclat étoilé une chevillère, à l'apparence soignée. Une long collier descendant dans le décolté profond de sa robe. Le tintement des bracelest se faisait entendre sur le même cadence que ses pas. Une deuxième, puis un troisième garde du corps apparraissent.

Bonjour madame, excusez nous de vous avoir dérangée.

*Baissant la tète en lui parlant.*

* Entrant dans la pièce. Faisant une grimace. *

Pouah, mais pourquoi donc les hommes ne savant-ils pas choisir des lieux propres. Et ça pue !

*Se tournant vers les deux hommes*

Ah c'est encore vous, j'espère que vous avez une bonne raison de me déranger comme cela

* Remarque la présence d'Aldéa toujours étendue inconsciente sur le sol.*

C'est la raison de votre appel, je suppose ?

* La tête toujours baissé, l'un des hommes réponds:*

Oui madame, c'est elle dont nous vous avons parlée au téléphone. Nous vous laissons juger de la qualité en toute tranquillité.

* Comme à reculer sans jamais tourner le dos à la dame et à ses acolytes*

* Vont se mettre au fond de la pièce*

*entend encore du bruit autour*
*essaye d'ouvrir un oeil*

Cette douleur lancinante et persistante dans ma tête... j'ai tellement mal, j'ai envie de vomir.
Mon dos... merde mes mains sont attachés....

Trop fatiguant de faire des efforts, je vais restée là

* Se retourne vers les deux hommes qui sont au bout de la pièce*

Eh ben pour une fois, il me semble que vous avez fais du bon boulot, je suis étonnée. Moi qui vous prenais pour deux incapables.

Approchez vous deux.

* Leur lances une liasse de billet qui tombe sur le sol*

C'est pour vous et maintenant disparaissez de ma vue, malpropre.

* Ramasse la liasse et s'en vont rapidement*

Merci madame, merci


*Ils quittent la pièce sans un mot*

* Se penche sur Aldéa*

Allez je sais que tu es réveillée, c'est bon. Je sais que ce sont deux idiots mais ils me rendent parfois service.

A toi aussi, d'ailleurs, tu vas commencer une nouvelle vie.

* Ris de manière pudique maniérée*

Comment?.... Qu'est ce qui s'est passé?

*fais l'effort d'ouvrir les yeux*

aaaaaaah mes yeux...

*même le peu de lumière environnant est trop fort *

AAAAAAAAAAH tu vois, j'avais raison.

* Attrape le visage d'aldéa d'un main, au niveau de la machoire et commence à lui bouger la tète comme si elle l'examinait.*

Joli visage, et pas que le visage il me semble, le reste me semble bien fournis aussi.

Ta nouvelle vie va bientot commencer.

* Se retourne vers ses hommes*

Allez embarquez moi ça, on rentre.

Aaaaah... c'est qui ?
Qui est ce qui a osé m'attacher??

*mal à la tête*

Quel horreur...

Aïe! mais on me fait mal!

Aldéa se sent trainer sur le sol.

* Deux hommes la traine à travers l'entrepot*

* La femme ferme la marche de ce petit groupre*

Parfaite, elle est parfaite, c'est deux abrutis n'imaginent même pas sa valeur.

Non mais c'est une blague?? on me traine par terre? mais on se fout de la gueule de qui là?

Le paysage me semble tout d'un coup plus sombre, la lumière moins violente à mes yeux.

Mes bijoux!?! Je les ais encore tous?

oui?.... oui! ... ah! les cons!

Bon... vais un peu voir ce qu'ils me veulent, de plus, je ne sais pas à qui j'ai à faire.

* Les hommes continuent de la trainer. Ils passent la porte et se retrouvent dans un couloir*

La dame dit :

Tiens tiens, qu'est ce que c'est que ces yeux.

* S'approche d'Aldéa et la giffle*

Ne recommence plus jamais ça, je vais devoir te dresser toi. Tu me sembles mal élévée.

Mes yeux?
Si au moins j'avais eu une expression quelconque je comprendrais...

*Ferme les yeux*

Cette femme a bon goût pour les bijoux, les hommes sont des bruts avec leurs armes... la pièce est truffé aussi... ça va...
Pour l'instant, je n'ai d'autre choix que de me laisser faire... putain de cordes!

*se laisse encore trainer par terre*

Ils veulent m'arracher les cheveux ou quoi?
Bon tant pis... je verrais bien ce qu'ils veulent de moi

* Les hommes franchissent un nouvelle porte qui grince au moment ou ils la poussent*

Le petit groupe se retrouve dans le rue, au niveau d'un quai de déchargement.

* le groupe se dirige vers une voiture ou un chauffeur les attends, mais avant ils doivent descendre quelques marches*

Portez là au moins pour descendre l'escalier, faudra quand même pas trop l'abimer; déjà que son dressage risque d'être long Dit la femme.

* Continue de s'approcher de la voiture*

* Le chauffeur s'avance et va ouvrir une protière et retire sa casquette*